samedi 16 août 2014

Référencement : toucher du doigt les limites de Google...

Il a beau donner des noms d'animaux à ses filtres algorithmiques, le moteur de recherche Google n'est qu'un robot dénué de toute "vie", un ramassis de 1 et de 0 mieux organisé que ses concurrents mais rien d'autre que du code source maquillé par ses créateurs en machine à cash.

  • Google nous parle
  • Google nous sert ou nous aide
  • Google nous distrait
  • Google nous amuse

Mais il n'existe que parce que nous le pensons, et notre raison est toujours déçu par l'inconstance des apparences.

Chaque jour, le référenceur est confronté aux limites de Google, les agents Smith de cette matrice :
Le moteur de recherche propose une hiérarchisation de sites web la plus pertinente possible sur une requête  pour l'internaute.
L'internaute étant un humain, ce moteur doit

  • "deviner nos intentions"
  • sélectionner les sites (et pages surtout) les plus "qualitatives"
  •  interpréter notre "satisfaction" d'humain.
  • etc


Vous devriez mettre un frein à votre intimité avec le robot Google...
Vous l'avez compris, au départ de l'idée, Larry Page et Sergueï Brin, créateurs de Google avaient donc une équation impossible à résoudre. (Que l'on ne me parle pas de l'Intelligence Artificielle puisque là aussi, dès l'hypothèse de départ, l'antinomie démontre la supercherie)
Il a fallu toute la naïveté de jeunes cerveaux moulés à l'université Stanford en 1996 et surtout un monde peuplé de consommateurs alogiques (qui découvrent 20 ans après que le gratuit sur le web n'existe pas) pour que Google soit ce qu'il est aujourd'hui, pour beaucoup notre égal, pour certains un guide voir pour quelques membres de la secte, un être suprême et/ou dangereux ....

Et pourtant, ce n'est qu'un robot (ma phrase galiléenne du jour)

Coupez l'électricité des serveurs de Google et tout disparaît, c'est une grosse ampoule sophistiquée qui s'éteindra sur simple pression de l' index d'un quidam.

Le mythe du classement "qualitatif" est une chimère commerciale, chaque jour, ce sont les référenceurs qui améliorent le classement proposé par cette machine (Scoop :  eux aussi ne travaillent pas gratuitement).

Si des entreprises génèrent du chiffre d'affaire depuis le net, c'est grâce aux webmasters et référenceurs qui ont valorisés les qualités d'une entreprise par rapport à sa concurrence et proposés aux internautes des réponses adaptées à leurs interrogations.

Wikipédia possède des millions de 1ère page Google et ne génèrent aucun business.
Mes clients possèdent des centaines et milliers de premières pages Google et font vivre leur entreprise avec.

Les limites de Google
Ce qui compte, ce n'est pas la première page Google mais de transformer un trafic qualifié (quelque soit son origine)

Si Google n'existait pas, il y aurait Bing, Yahoo ou prochainmoteurderecherche.com, qu'importe, aucun robot n'est indispensable ! Pour un référenceur, Google est un imparfait robot ponctuel et temporaire qui "peut" générer du trafic utile sur un site client pour un excellent rapport qualité prix, à nous de le transformer ensuite en vente concrète parce que, quelque soit les milliards de CA générés par la firme de Moutain Views (60 en 2013), ce moteur ne vous a concrètement rien permis de vendre.

Seuls des humains vendent à des humains.

Nous sommes le sommet de la chaîne commerciale.

La preuve ?  cet article sera diffusé sur Google + sans que le moteur "n'y trouve rien à redire" ....

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