Et un ennemi mortel se glissera inéluctablement dans la pièce : il s'agit de la résistance au changement.
L'immobilisme entrepreneurial est légion. La zone de confort dans laquelle se trouve tout chef d'entreprise est un espace très difficile à quitter.
"ce n'est pas le moment"
"je n'ai pas les moyens"
"je suis en train d'étudier cela"
Autant d'excuses pour ne pas tenter, pour ne pas entreprendre.
Généralement conscient du problème de manque d'efficacité, le pros, in fine ne bougera pas de son statu quo.
C'est une réaction naturelle et particulièrement française.
La résistance au changement s'explique paradoxalement en psychologie comme la conséquence d'un sujet à se voir adoubé par sa communauté.
On veut absolument être positivement utile, on a donc besoin de beaucoup de repères et compréhensions pour franchir des pas sûr.
Ajouter à cela notre esprit français très conservateur en ce qui concerne l'esprit d'entreprise où seuls les réussites comptent et vous expliquez assez facilement un des paradoxes de mon métier :
TOUS LES PROS SAVENT QUE LE RÉFÉRENCEMENT EST UNE SOURCE DE BUSINESS
PEU S'ENGAGE A VRAIMENT DÉVELOPPER LEUR RÉFÉRENCEMENT
Ma conférence devra offrir aux chefs d'entreprise présents plus que de la connaissance.
Je dois pouvoir faire exploser ce plafond de verre qu'ils se sont imposé et permettre à tous
- d'agir
- de prendre l'initiative
- de changer
Et pour ce faire, je vais employer une technique bien connue des neuroergonomes : planter profondément dans leurs mémoires des pieux de référence qui leurs permettront d'acquérir un "référenciel commun" nécessaire à leur mutation.
Ma conférence sera réussie si et seulement si des pros présents repartent avec des infos et une envie impérieuse d'entrer en action... et d'entreprendre !
Comme le dit Google à ses cadres : KICK KISS*
*Keep It Crazy Kids ; Keep It Simple, Stupid
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